Présentation des missions, de l’équipe et du réseau de la délégation régionale académique.
Présentation des principaux partenaires. Organigrammes et annuaires.
Présentation de l’éducation artistique et culturelle dans les huit départements de Bourgogne-Franche-Comté : coordinations départementales, dispositifs et événements, projets remarquables.
Présentation des domaines de l’éducation artistique et culturelle : coordination, dispositifs, ressources, projets remarquables.
Ressources méthodologiques et pédagogiques pour mettre en œuvre l’éducation artistique et culturelle : documents officiels, webinaires, tutoriels, vadémécums…
Durant un mois, les lycéens ont lu les dix ouvrages retenus par les organisateurs du festival d’Angoulême. Ils ont ensuite rédigé des critiques pertinentes et argumentées avant de débattre et de choisir quelles étaient selon eux les trois bandes dessinées les plus marquantes de la sélection de cette année.
Très éclectique, leur choix s’est porté en premier lieu sur Les Oiseaux de papier, de Mana Neyestani, un très beau roman graphique en noir et blanc racontant les conditions de vie terribles des « Kolbars », ces contrebandiers poussés à braver la légalité pour survivre dans le Kurdistan iranien frontalier de l’Irak.
D’une facture plus classique, L’Illusion magnifique, d’Alessandro Tota, conte la vie trépidante d’une jeune autrice de bande dessinée dans le New York des années trente. Cette œuvre plonge le lecteur dans le contexte de l’invention des comics, cette forme de BD qui reste très prisée des jeunes aujourd’hui, notamment grâce à la popularisation qu’elle connaît grâce au cinéma.
Enfin, le dévolu des jeunes lecteurs a été jeté sur un ouvrage d’un graphisme souvent surprenant : dans Des Maux à dire, Béa Lema revient sur les affres de l’adolescence.
Il importe de souligner que la sélection Fauve des lycéens de l’établissement tombe à point nommé car elle intervient à quelques semaines de l’anniversaire des 180 ans du sapeur Camember, l’un des personnages qui, aux côtés de la famille Fenouillard, du savant Cosinus et des lutins Plick et Plock, ont préfiguré le 9e art tout en donnant ses lettres de noblesse à la bande dessinée française.
Au lycée Georges Colomb, l’ensemble de la communauté éducative tient évidemment à célébrer ce personnage créé par… Georges Colomb lui-même ! C’est dans le cadre de cette commémoration que les élèves impliqués dans le prix de la bande dessinée travaillent actuellement à la production de photographies célébrant cette figure emblématique de de la ville de Lure…
Affaire à suivre !
article proposé par Fabrice Barassi-Zamochnikoff, enseignant missionné en service éducatif – Musées de Haute-Saône
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